durée 1h15
De la pénombre surgissent plusieurs créatures bipèdes, imposantes et chevelues, à la façon des kukeri bulgares.
À cheval entre le documentaire animalier et la parade de mascottes, Pour que l’année soit bonne et la terre fertile interroge de façon décalée notre rapport au vivant. Le Collectif Mind The Gap joue avec les mouvements et les transformations pour créer de nouvelles façons d’être au monde, ensemble. Un renversement jubilatoire.
mise en scène et interprétation Thomas Cabel, Julia de Reyke, Solenn Louër, Anthony Lozano et Coline Pilet, dramaturgie Léa Tarral, scénographie Clémence Delille